Il est permis d’entreprendre et de créer. Cela constitue même un devoir. Je ne laisse pas le soin à mes seuls ancêtres – ou prédécesseurs – de définir l’ensemble des métiers/activités dignes, respectables ou utiles que je serai amené à pratiquer au cours de ma vie. Je suis suffisamment grand, je n’ai pas emprunté un chemin d’émancipation pour rester dans les clous et me laisser porter par les événements. En fait, pour la petite histoire, j’ai été contraint relativement tôt de bouleverser mon paradigme, peut-être est-ce ce que l’on nomme « tuer le père » ? Ou peut-être est-ce précisément l’incapacité à le tuer ? Je laisse ça à mon psychiatre (et s’il rit je lui brosserai les dents). Du fait du hasard, de Dieu, ou de peu importe, le résultat est le même, alors on dira « du fait des circonstances passées », c’est un minimum acceptable pouvant rassembler (presque) tout le monde.
Entre prendre et créer
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